Since 1997, South Africa has been developing and implementing food-based dietary guidelines for people aged >6 years. The complexity of the population, which contains different ethnic groups, as well as the rapid urbanization that is taking place, means that food-based dietary guidelines need to consider both overnutrition and undernutrition. The initial guidelines did not include guidance on sugar, and the Department of Health was not prepared to approve them until appropriate guidance on sugar was included. This paper summarizes the evidence available for such a guideline and the nature of that evidence. Other low- and middle-income countries, particularly those in Africa, may face a similar dilemma and might learn from our experience.
Desde 1997 Sudáfrica viene formulando y aplicando directrices sobre el azúcar, y el Departamento de Salud no estaba dispuesdietéticas basadas en los alimentos para las personas mayores to a aprobarlas mientras no proporcionaran asesoramiento en de 6 años. Debido a la complejidad de la población, que com-ese sentido. Este artículo resume las pruebas científicas que prende diferentes grupos étnicos, así como a la rápida urbaniza-respaldan tal asesoramiento y la naturaleza de esas pruebas. ción que está teniendo lugar, las normas dietéticas basadas en Otros países de ingresos bajos y medianos, particularmente de los alimentos han de abarcar tanto la sobrenutrición como la África, se hallan quizá ante un dilema similar y podrían sacar prodesnutrición. Las primeras directrices no incluían orientación vecho de nuestra experiencia.
En 1997, l'Afrique du Sud a entrepris d'élaborer et d'appliquer refusé de les approuver tant que la question du sucre n'y figurait des conseils diététiques alimentaires pour les personnes à partir pas. Le présent article récapitule les données de nature à étayer de six ans. Etant donné la complexité de la population, qui est une recommandation relative au sucre ainsi que la nature de ces composée de groupes ethniques divers, et l'urbanisation galo-données. Notre expérience pourrait inspirer d'autres pays au pante, les conseils diététiques alimentaires doivent couvrir aussi revenu inférieur ou moyen, notamment en Afrique, qui se troubien la suralimentation que la sous-nutrition. Les conseils initiaux veraient devant ce même dilemme. faisaient l'impasse sur le sucre et le Département de la Santé a refusé de les approuver tant que la question du sucre n’y figurait pas. Le présent article récapitule les données de nature à étayer une recommandation relative au sucre ainsi que la nature de ces données. Notre expérience pourrait inspirer d’autres pays au revenu inférieur ou moyen, notamment en Afrique, qui se trouveraient devant ce même dilemme.