Problem Guatemala is experiencing an increasing burden of cancer but lacks capacity for cancer prevention, control and research. Approach In partnership with a medical school in the United States of America, a multidisciplinary Cancer Control Research Training Institute was developed at the Instituto de Cancerología (INCAN) in Guatemala City. This institute provided a year-long training programme for clinicians that focused on research methods in population health and sociocultural anthropology. The programme included didactic experiences in Guatemala and the United States as well as applied training in which participants developed research protocols responsive to Guatemala’s cancer needs. Local setting Although INCAN is the point of referral and service for Guatemala’s cancer patients, the institute’s administration is also interested in increasing cancer research – with a focus on population health. INCAN is thus a resource for capacity building within the context of cancer prevention and control. Relevant changes Trainees increased their self-efficacy for the design and conduct of research. Value-added benefits included establishment of an annual cancer seminar and workshops in cancer pathology and qualitative analysis. INCAN has recently incorporated some of the programme’s components into its residency training and established a research department. Lessons learnt A training programme for clinicians can build cancer research capacity in low- and middle-income countries. Training in population-based research methods will enable countries such as Guatemala to gather country-specific data. Once collected, such data can be used to assess the burden of cancer-related disease, guide policy for reducing it and identify priority areas for cancer prevention and treatment.
Resumen Situación Guatemala tiene una incidencia de cáncer cada vez mayor, pero carece de la capacidad para la prevención, el control y la investigación del cáncer. Enfoque En asociación con una escuela de medicina de Estados Unidos de América, se ha creado un instituto de investigación multidisciplinar para el control del cáncer en el Instituto de Cancerología (INCAN) de la ciudad de Guatemala. Este instituto ofreció un programa de formación de un año a médicos que se especializaban en los métodos de investigación en materia de salud pública y antropología sociocultural. El programa incluía las experiencias didácticas en Guatemala y Estados Unidos, así como la formación aplicada en la cual los participantes desarrollaron protocolos de investigación que respondían a las necesidades de cáncer de Guatemala. Marco regional Aunque INCAN es el punto de referencia y de servicios para los pacientes con cáncer de Guatemala, la administración del instituto también está interesada en aumentar la investigación del cáncer, centrándose en la salud pública. INCAN es un recurso para desarrollar la capacidad en el contexto de la prevención y el control del cáncer. Cambios importantes Los participantes aumentaron su propia eficacia en el diseño y la realización de la investigación. Los beneficios de valor añadido incluyeron el establecimiento de un seminario de cáncer anual y talleres sobre la patología del cáncer, así como un análisis cualitativo. Recientemente, INCAN ha incorporado algunos de los elementos del programa en su capacitación residencial y ha establecido un departamento de investigación. Lecciones aprendidas Un programa de capacitación para los médicos puede aumentar la capacidad de investigación del cáncer en los países de bajos y medianos ingresos. La capacitación en los métodos de investigación basados en la población permitirá a países como Guatemala recopilar datos específicos de cada país. Tras obtener los datos, pueden utilizarse para evaluar la incidencia de las enfermedades relacionadas con el cáncer, orientar las políticas para reducirla e identificar las áreas prioritarias para la prevención y el tratamiento del cáncer.
Résumé Problème Le Guatemala connaît actuellement une charge accrue de morbidité liée au cancer, mais le pays n'a pas la capacité suffisante en matière de prévention, de suivi et de recherche pour lutter contre cette maladie. Approche En partenariat avec une faculté de médecine située aux États-Unis d'Amérique, un institut multidisciplinaire de formation et de recherche dans la lutte contre le cancer a été créé à l'Instituto de Cancerología (INCAN) dans la ville de Guatemala. Cet institut a fourni un programme de formation d'un an aux cliniciens, qui mettait l'accent sur les méthodes de recherche dans le domaine de la santé de la population et de l'anthropologie socioculturelle. Ce programme incluait des expériences didactiques au Guatemala et aux États-Unis d'Amérique, ainsi qu'une formation pratique au cours de laquelle les participants ont développé des protocoles de recherche répondant aux besoins en matière de cancer du Guatemala. Environnement local Bien que l'INCAN soit le point de référence et de service pour les patients atteints de cancer au Guatemala, l'administration de l'institut cherche également à augmenter la recherche sur le cancer en mettant l'accent sur la santé de la population. L'INCAN est donc une ressource pour renforcer la capacité dans le contexte de la prévention et de la lutte contre le cancer. Changements significatifs Les stagiaires ont augmenté leur propre efficacité en matière de conception et de conduite de la recherche. Les bénéfices à valeur ajoutée comprenaient l'instauration d'un séminaire annuel sur le cancer et d'ateliers de travail portant sur la pathologie du cancer et l'analyse qualitative. L'INCAN a récemment intégré certains éléments du programme dans la formation de ses internes et a créé un département de recherche. Leçons tirées Un programme de formation pour cliniciens peut renforcer la capacité de recherche sur le cancer dans les pays à revenu faible et intermédiaire. La formation aux méthodes de recherche axées sur la population permettra aux pays tels que le Guatemala de recueillir des données spécifiques au pays. Une fois collectées, ces données peuvent être utilisées pour évaluer la charge de morbidité liée au cancer, pour orienter les politiques dans la lutte contre la maladie et pour identifier les zones prioritaires dans les domaines de la prévention et du traitement du cancer.