OBJECTIVE: To determine the effect of weekly low-dose vitamin A supplementation on cause-specific mortality in women of reproductive age in Ghana. METHODS: A cluster-randomized, triple-blind, placebo-controlled trial was conducted in seven districts of the Brong Ahafo region of Ghana. Women aged 15-45 years who were capable of giving informed consent and intended to live in the trial area for at least 3 months were enrolled and randomly assigned, according to their cluster of residence, to receive oral vitamin A (7500 µg) or placebo once a week. Randomization was blocked, with two clusters in each fieldwork area allocated to vitamin A and two to placebo. Every 4 weeks, fieldworkers distributed capsules and collected data during home visits. Verbal autopsies were conducted by field supervisors and reviewed by physicians, who assigned a cause of death. Cause-specific mortality rates in both arms were compared by means of random-effects Poisson regression models to allow for the cluster randomization. Analysis was by intention-to-treat, based on cluster of residence, with women eligible for inclusion once they had consistently received the supplement or placebo capsules for 6 months. FINDINGS: The analysis was based on 581 870 woman-years and 2624 deaths. Cause-specific mortality rates were found to be similar in the two study arms. CONCLUSION: Low-dose vitamin A supplements administered weekly are of no benefit in programmes to reduce mortality in women of childbearing age.
OBJETIVO: Determinar el efecto de la administración semanal de dosis bajas de vitamina A en la mortalidad por causas especÃficas de mujeres en edad reproductiva en Ghana. MÉTODOS: Se realizó un ensayo aleatorio de grupos, triple ciego y controlado por placebo en siete distritos de la región de Brong Ahafo, en Ghana. Se inscribieron mujeres de entre 15 y 45 anos de edad capaces de dar su consentimiento informado y que tuvieran previsto vivir en el área de ensayo durante al menos tres meses. De acuerdo con el grupo de residencia al que habÃan sido asignadas de forma aleatoria, recibieron semanalmente vitamina A por vÃa oral (7500 µg) o placebo. La distribución aleatoria se limitó en cada área de trabajo a dos grupos a los que se les administró vitamina A y dos grupos que recibieron placebo. Cada cuatro semanas, los investigadores de campo distribuyeron cápsulas y recogieron datos durante las visitas a los hogares. Las autopsias verbales realizadas por los supervisores de campo fueron revisadas por médicos, quienes determinaron la causa de la muerte. Se compararon las tasas de mortalidad por causas especÃficas de ambos brazos mediante los modelos de regresión de Poisson con efectos aleatorios para facilitar la distribución aleatoria de los grupos. El análisis fue por intención de tratar, según el grupo de residencia y con mujeres que cumplieron las condiciones de inclusión una vez habÃan recibido de forma constante las cápsulas de suplemento o placebo durante seis meses. RESULTADOS: El análisis se basó en 581 870 anos-mujer y 2624 muertes. Se descubrió que las tasas de mortalidad por causas especÃficas fueron similares en ambos brazos del estudio. CONCLUSIÓN: Los suplementos de dosis bajas de vitamina A administrados semanalmente no presentan ninguna ventaja en los programas para reducir la mortalidad de las mujeres en edad reproductiva.
OBJECTIF: Déterminer l'effet de la supplémentation hebdomadaire en vitamine A à faible dose sur la mortalité spécifique des femmes en âge de procréer au Ghana. MÉTHODES: Une étude randomisée, en triple aveugle, contrôlée contre placebo, a été menée dans sept districts de la région de Brong Ahafo au Ghana. Les femmes âgées de 15 à 45 ans, capables de donner un consentement éclairé et amenées à vivre dans la région de l'étude pendant au moins 3 mois, ont été incluses et il a été déterminé qu'elles recevraient une fois par semaine, au hasard selon leur groupe de résidence, de la vitamine A par voie orale (7 500 µg) ou un placebo. La randomisation a été fixée par deux groupes dans chaque zone recevant la vitamine A et deux groupes recevant le placebo. Toutes les 4 semaines, les agents de terrain distribuaient les capsules et recueillaient les données lors de visites à domicile. Des autopsies orales ont été effectuées par les superviseurs sur le terrain et analysées par des médecins, qui déterminaient la cause du décès. Les taux de mortalité spécifique dans les deux groupes ont été comparés à l'aide d'une régression de Poisson pour valider la randomisation des groupes. L'analyse, basée sur l'intention de traiter, était basée sur le groupe de résidence, pour des femmes éligibles à l'étude ayant reçu les capsules de supplément ou de placebo de manière constante pendant 6 mois. RÉSULTATS: L'analyse s'est basée sur 581 870 années-femmes et 2624 décès. Les taux de mortalité spécifique ont été jugés similaires dans les deux groupes de l'étude. CONCLUSION: Les suppléments en vitamine A à faible dose administrés hebdomadairement ne sont d'aucune utilité dans les programmes visant à réduire la mortalité chez les femmes en âge de procréer.