Abstract This feminist-oriented text revolves around methodological discussions regarding women's participation in different wars, specifically their writing processes within the context of armed conflicts. These reflections shed light on how certain nations shape gendered mechanisms of exclusion and inclusion, which, when undergoing social crises, produce experiences, junctures, ruptures, and continuities at the borders that individuals and societies can (or cannot) cross. Subsequently, the text analyzes how certain studies on wars position women as subjects who strategically act and construct their identities, environments, and narratives through the written word, both at a personal, societal, political, and activist level. By problematizing the relationship between war, nation, gender, and writing, it is revealed how gender, both masculine and feminine, is moulded, (re)produced, and (re)defined, and how it naturalizes, justifies, and legitimizes the existence of wars and nations.
Resumen El texto gira alrededor de discusiones metodológicas sobre la participación de las mujeres en diferentes guerras, sobre sus procesos escriturales. Dichas reflexiones dan cuenta de cómo ciertas naciones moldean mecanismos generizados de exclusión e inclusión, que producen -al atravesar crisis sociales- experiencias, coyunturas, rupturas y permanencias en las fronteras que las personas y sociedades pueden/deben (o no), cruzar. Posteriormente, se analiza cómo ciertas investigaciones sobre guerras posicionan a las mujeres como sujetos que, a través de la palabra escrita, accionan y construyen estratégicamente sus identidades, entornos y narrativas en clave de lo personal y también de lo social, lo político y la lucha. Al problematizar la relación guerra-nación-género-escritura permite mostrar cómo se moldea, (re)produce y (re)define el género -lo masculino y lo femenino- y, cómo éste naturaliza, justifica y legitima la existencia de las guerras y las naciones.
Résumé Ce texte d'inspiration féministe s'articule autour de discussions méthodologiques sur la participation des femmes dans différentes guerres, plus précisément sur leurs processus d'écriture dans le cadre de contextes de guerre. Ces réflexions rendent compte de la manière dont certaines nations façonnent des mécanismes d'exclusion et d'inclusion à partir du genre, qui produisent - lorsqu'elles traversent des crises sociales - des expériences, des conjonctures, des ruptures et des permanences dans les frontières que les personnes et les sociétés peuvent/ doivent (ou ne pas) franchir. Par la suite, on analyse comment certaines recherches sur les guerres positionnent les femmes comme des sujets qui, à travers l'écrit, agissent stratégiquement et construisent leurs identités, leurs environnements et leurs récits en termes de personnel mais aussi social, politique et de lutte. En problématisant la relation guerre-nation-genre-écriture, elle permet de montrer comment le genre se façonne, (re)produit et (re)défini - le masculin et le féminin - et comment il naturalise, justifie et légitime l'existence des guerres et des nations.